Législation et politique
Grâce à notre expérience en ce qui concerne l’ accueil, la réhabilitation et l’ abri définitif, nous venons en aide également au bien-être des animaux exotiques.
En Europe De Zonnegloed est reconnu entretemps pour son engagement d’ accueil permanent des animaux sauvages indigènes et exotiques.
Notre expérience nous donne un point de vue unique sur les problèmes énormes quant à la garde des animaux exotiques non-domestiques, ce qui est la base de notre influence sur la politique. En effet, pour les générations on peut continuer à sauver des ours et des singes des cirques ou propriétaires privés, mais la seule solution définitive est résoudre les problèmes à la racine par une meilleure législation.
Ces animaux font objets d’ un commerce sur une grande scale, sont exploités dans l’ industrie de divertissement ou tenus comme animaux domestiques dans des circonstances qui ne conviennent pas, ce qui cause souvent des problèmes graves sur le niveau du bien-être. Nous entamons ce que cause ou causera probablement le plus des problèmes en pratique.
A ce moment on est actif endéans les domaines suivants :
- Propiété privée des animaux exotiques : une liste positive
- Le commerce illégal des animaux sauvages
- Des animaux sauvages pour le divertissement
- Des primates comme animaux en expérience
- La législation des sanctuaires
- Parlement européen : la crise quant à l’ accueil des animaux sauvages
- La chasse au trophée : occidentaux riches, ne les touchez pas. Arrêtez les safaris de chasse !

La crise dans les centres de sauvegarde pour animaux sauvages :
l’ Union européenne, comment peut-elle venir en aide ?
Jour après jour on travaille dur dans De Zonnegloed pour donner aux animaux accueillis un avenir digne. Mais ce n’est pas tout ! Par exemple on construit également un réseau européen de façon que les animaux souffrants trouvent sans délais un centre de sauvegarde convénient. Ce centre peut être De Zonnegloed mais parfois un autre centre se situe plus proche ou est plus spécialisé pour accueillir certains animaux. Pour que ce réseau fonctionne optimalement il faut d’ urgence une législation claire et des financements suffisants. Pour indiquer les difficultés EARS (European Alliance of Rescue Centres and Sanctuaries) et Stichting AAP ont publié un rapport (en anglais) sur la rôle importante que De Zonnegloed et ses collègues de EARS ont dans la lutte contre le commerce des animaux sauvages illégal.
Ce rapport a été la base pour une conférence à ce sujet, qui a eu lieu le 13 novembre dans le Parlement européen à Bruxelles. Des membres du Parlement européen, de la Commission européenne, des représentants des états membres et des organisations pour le bien-être animal ont souscrit notre conclusion qu’ il faille plus d’ aide et plus de collaboration européenne en ce qui concerne la lutte contre le commerce illégal et la solution pour la manque actuelle de capacité d’ accueil.
EARS : « Nos efforts comme réseau d’ accueil qui travaille des instances de mise en vigueur, sont souvent incommodés par une législation qui n’ est pas claire ou qui n’ est pas appliquée de la même façon dans toute l’ Union européenne. En plus, il y a des instructions datées qui ne conviennent pas avec le caractère dynamique du secours aux animaux sauvages, et evidemment il y a la manque constructive des moyens financiers. »
Ensemble avec le Eurogroup for Animals et EARS nous avons demandé de faire attention aux différents défis. Selon notre expertise le plus important c’ est la manque d’ espace. Dans toute l’ Europe le demande des centres d’ accueil pour des animaux exotiques saisis ou pris en garde est énorme. Cette manque est causée par le commerce illégal grandissant des animaux sauvages et la demande exubérante des animaux domestiques exotiques, qui une fois adultes, sont abandonnés. Aussi la nouvelle législation importante comme l’ interdiction des animaux sauvages dans les cirques, exige beaucoup de lieux d’ abri. Si le nombre des demandes de sauvetage augmente et le nombre des centres d’ accueil reste limité, il devient de plus en plus difficile pour trouver un bon logement pour ces animaux. « Il est dommage que dans la plupart des fois ces animaux ne puissent plus vivre dans la nature. Voilà l’ importance des bons centres d’ accueille pour qu’ on aide les autorités à identifier ces animaux, à avoir transport et logements convénients et finalement, à les soigner » comme le dit Martin Hojsík, membre du Parlement européen et responsable de l’ événement qu’ il a organisé avec Anja Hazekamp, aussi membre du Parlement européen et présidente de l’ Intergroup on the Welfare and Conservation of Animals.
Le rapport présenté, titré Breaking Point: Solving the European Wildlife Rescue Crisis, comprend également des propositions pour l’ amélioration. L’ Union européenne et ses états membres sont invités à fournir plus d’ argent pour ces centres d’ accueil et à les soutenir dans leurs actions. Le document demande aussi des prescriptions bien alignées pour les états membres et de développer des plans d’ action spécifiques pour l’ accueil des animaux exotiques. En plus le rapport insiste que l’ Union européenne prenne soin d’ une interprétation consistente des règles et prescriptions en ce qui concerne le sauvetage des animaux exotiques.
« Dans l’ évaluation finale du plan d’ action de l’ Union européenne contre le commerce des animaux sauvages, qui est attendue en 2020, il faut que l’ Union européenne soutienne d’ une manière consistente, les centres d’ accueil qui conviennent dans toute l’ Europe pour que les animaux puissent être soignés bien à long terme » comme le dit pour terminer Reineke Hameleers, directrice de l’ Eurogroup for Animals et une des orateurs de l’ événement.