Un sanctuaire – un refuge permanent pour des animaux sauvages ayants besoin d’ aide

Le sanctuaire De Zonnegloed prévoit être un refuge pour des animaux sauvages exotiques. Il s’ agît des animaux venants des cirques ou zoos qui ne respectent pas trop la législation. Souvent aussi il y a des particuliers qui gardent des animaux sauvages exotiques comme animaux domestiques illégaux.

A ce moment le gouvernement fait appel aux centres d’ accueil temporaires lorsqu’ on saisit des animaux exotiques. Mais ce n’ est pas ça qui aide ces animaux : la capacité des centres d’ accueil temporaires est limitée. Voilà la raison pourquoi De Zonnegloed a créé un centre d’ accueil permanent en 2011. Entretemps De Zonnegloed dispose d’ un espace de 7 hectares avec des loges pour entre autres des primates, des gros félins, des prédateurs grands et petits, des reptiles et des oiseaux de proie. On y prend soin d’ environ 135 espèces différentes, en total plus de 400 animaux.

Ainsi De Zonnegloed veut offrir aux animaux sauvages exotiques qui ne peuvent plus être lâchés dans la nature, une place permanente en sécurité où ils ont les soins spécialisés.

Des animaux sauvages dans les zoos

Malgré qu’ une discussion si les zoos peut être très intéressante, nous ne la ferons pas ici. On veut bien mentionner qu’ il y a, même dans l’ Europe, des zoos qui ne respectent pas trop la législation en vigeur.

Des zoos qui manquent des rentrées ou qui n’ont pas une politique efficace, deviennent souvent des places tristes. Les logements et le bâtiments sont en mauvais état, les animaux ne reçoivent pas les soins et nourritures adéquates de façon que leur bien-être est en danger. Une fois que ceci est connu, il y a des organisations animales et le gouvernement qui font le nécessaire pour que ce zoo soit fermé. Toutefois, en fermant le zoo il n’ y a pas encore une solution pour les animaux nombreux qui sont là. Alors on demande par exemple à De Zonnegloed pour aider. La plupart des fois les animaux sont accueillis par un centre temporaire où on donne les premiers soins nécessaires. Une fois que les animaux sont stables, on peut les emmener à notre sanctuaire où ils reçoivent des soins spécialisés et un logement définitif pour la vie.

Des animaux sauvages dans les cirques

Heureusement, en Europe il y a de plus en plus des pays qui émettent une interdiction sur les animaux sauvages dans les cirques. On peut se demander si une telle interdiction est nécessaire mais sachant que les animaux sont fermés dans des petits et souvent mauvais trailers et qu’ ils apprennent leur trucs en étant torturés, on sait la réponse assez vite. Souvent aussi, on fait les animaux dangereux, comme les lions ou les ours, moins dangereux en tirant leurs ongles et leurs dents.

En Belgique il y a une interdiction de faire performer les animaux sauvages. Sachant que pour les propriétaires et les ouvriers d’ une cirque, ceci est une grande partie de leurs rentrées, on comprend la malaise et qu’ il y a des cirques qui ne respectent pas les règles. Surtout au début, les premiers ans après la nouvelle législation, le gouvernement a souvent dû saisir des animaux et les libérer de leur situation pénible. La plupart des fois les animaux sont accueillis en premier lieu par le Natuurhulpcentrum et viennent plus tard dans un centre définitif comme De Zonnegloed.

A ce jour l’ interdiction ne vaut que pour les animaux sauvages. On peut bien avoir des animaux exotiques domestiques comme les chameaux et les lamas et des animaux domestiques comme les chevaux et les chiens. Quoique les règles sont plus sévères et qu’ il faut que les logements soient conformes à la loi, nous, étant un sanctuaire, préférons que les cirques n’ aient pas d’ animaux dans leurs performances.

Des animaux sauvages comme animaux domestiques

En Belgique il y a une liste positive pour les mammifères et les reptiles. Sur ces listes on trouve tous les animaux qu’ on peut avoir comme animal domestique, sans licence officielle. Toutefois, malgré ces listes, il y a quand même souvent des animaux sauvages tenus comme animaux domestiques.

Etant sanctuaire nous voyons jour après jour les conséquences quand des particuliers croient pouvoir soigner un animal sauvage exotique pas mentionné sur les listes positives. Souvent ces animaux ont été pris de leurs mères immédiatement après la naissance et ne connaissent que des gens. Alors cet animal s’ identifie avec l’ homme, et en grandissant il réagira de plus en plus par instinct. Par exemple un singe : cet animal, dans sa puberté, cherche sa place dans l’ hiérarchie de la famille. Il engagera régulièrement le combat pour monter dans l’ hiérarchie, ce qui peut causer une agression forte envers l’ homme, et des attaques de morsure.

Souvent nous voyons également que les hommes choisissent un animal domestique d’ une impulsion. Un iguane est impressionnant mais on oublie que cet animal peut devenir plus d’ un mètre ; donc il faut un terrarium adéquate. Le soin pour un tel animal devient assez vite trop pour ces gens et on ne le veut plus. Le résultat est les gens négligent l’ animal ou le lâchent dans la nature malgré que l’ animal n’ a jamais développé son instinct de chasse, de façon qu’ il ne peut pas prendre soin de soi-même.

Le commerce illégal

Le commerce illégal des animaux sauvages exotiques existe en autres par des particuliers que veulent, malgré les législations, quand même un animal exotique comme animal domestique. Vu que ces animaux ne sont pas vendus dans les animaleries, il cherchent des contrebandiers et des commerçants illégaux. Le commerce illégal est maintenu également par la demande d’ ivoire et de corne de rhinocéros.

Dans De Zonnegloed on accueille souvent des victimes de commerce d’ animaux. Après le premiers soins dans un centre temporaire, ils trouvent ici un foyer nouveau pour la vie.

Des animaux de laboratoire

Nous préférons ne pas y penser mais aussi en Belgique on emploie toujours des animaux dans les laboratoires des universités, des compagnies pharmaceutiques et autres institutions. Ces animaux sont tenus dès le début dans des cages petites et subissent souvent des traitements longues et douleureux. Les espèces animales qu’ on emploie le plus sont les souris, les rats, les chats et les chiens, mais également les primates (singes). Ensemble avec un nombre d’ organisations animales De Zonnegloed fait appel aux laboratoires à l’ action de trouver des alternatives.

Des animaux sauvages exotiques qui sont sauvés des laboratoires, sont accueillis souvent dans un centre temporaire d’ abord, et après entre autres De Zonnegloed leur donne une vie digne.

Accueil des animaux sauvages exotiques

De Zonnegloed est un sanctuaire, un centre d’ accueil permanent pour des animaux sauvages qui ont besoin d’ aide. Souvent nous n’ avons pas la capacité d’ agir aux abus ; c’ est pourquoi nous travaillons ensemble avec plusieurs centres temporaires. Les ouvriers des centres temporaires donne à l’ animal sauvage qui a besoin d’ aide, les premiers soins nécessaires. Une fois que l’ animal est stable, on regarde si l’ animal peut être accueilli dans un centre définitif comme le sanctuaire De Zonnegloed.

Au-delà des frontières

Le sanctuaire De Zonnegloed est membre de EARS – European Alliance of Rescue Centers and Sanctuaries. Cette organisation groupe tous les centres d’ accueil Européens et aspire une bonne collaboration au-delà des frontières.

Le réseau EARS a comme buts :

Une plateforme pour une meilleure collaboration entre les centres d’ accueil européens pour animaux sauvages
Des efforts communs pour mieux accueillir et soigner des animaux sauvages
Des efforts communs pour plus de bien-être animale
Des efforts communs pour résoudre les causes (animaux sauvages dans les cirques, des zoos inadéquates, les animaux domestiques illégaux,…) à l’ origine
Représenter ses membres
Devenir plus connu dans l’ Europe

Une bonne collaboration fait que des animaux d’ une même espèce puissent être accueillis ensemble. Nous préférons qu’ un animal vit – éventuellement après la réhabilitation nécessaire – avec ses congénères. Parfois une espèce n’ est pas encore accueillie en Belgique, mais peut-être bien dans un pays voisin.

Une bonne collaboration fait que n’ importe quel animal reçoit une nouvelle place d’ accueil. En Belgique le nombre de ces places est limité. Les centres qui s’ engagent pour accueillir des animaux sauvages ne reçoivent pas de subsides du gouvernement et n’ existent que grâce à l’ aide de tant de donateurs, visiteurs, bénévoles,… C’ est pourquoi l’ expansion des différents centres est très limitée et beaucoup d’ animaux ne peuvent pas être accueillis en Belgique. La collaboration aves EARS fait qu’ il y a une bonne communication entre les centres européens en ce qui concerne par exemple le nombre de places disponibles.

Une bonne collaboration fait qu’ on puisse intervenir quant aux abus transfrontaliers, comme le trafic illégal ou les cirques ambulants.

Une bonne collaboration fait que nous formons ensemble un front envers l’ Union Européenne et les gouvernements des pays européens. Ainsi on peut mieux insister pour des meilleures législations, pour un soutien convenable, … et espérons, pour résoudre la souffrance animale à l’ origine.